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Editura Universitara Etudes semiotiques sur les verbes performatifs de comportement

23,11 Lei

ISBN: 978-973-749-766-6

Anul publicării: 2009

Editia: I

Pagini: 229

Editura: Editura Universitara

Autor: Şerban Ion Boicescu

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La présente étude se propose de décrire la classe des énoncés performatifs centrés sur les verbes comportementaux.
Nous essayons d'analyser la performativité centrée sur les verbes comportementaux à la lumière de plusieurs théories souvent complémentaires, d'autre fois divergentes des actes de langage et de syntaxe sémantique. Notre aperçu historique reprend, dans une perspective critique, les théories des actes de langage et des énoncés performatifs de John Austin, Emile Benveniste, Zeno Vendler, John Searle, G. Warnock, P. F. Strawson, François Récanati, Oswald Ducrot, Jean-Claude Anscombre, Alain Berrendonner, Daniel Vanderveken, Robert Martin, E. Goffman, Eddy Roulet, Jacques Moeschler, etc.
Notre démonstration s'occupe particulièrement des énoncés performatifs centrés sur les verbes comportementaux à partir de ce noyau nommé " behabitives' par Austin, "expressifs" par Searle et Vanderveken et "actes non-essentiellement représentatifs" par Récanati. Nous allons utiliser la dénomination verbes comportementaux, afin d'avoir un terme général qui va délimiter notre classe de verbes dans la grammaire et la taxinomie.
La liste de verbes comportementaux de notre corpus comprend vingt-cinq verbes morphématiques des types suivants : ACCUSER, APPROUVER, BÉNIR, BLÂMER, COMPLIMENTER, CONGRATULER, PARDONNER, DEMANDER PARDON, DÉPLORER, EXPRIMER/PRÉSENTER SES CONDOLÉANCES, S'EXCUSER (ÊTRE DÉSOLÉ), FÉLICITER, GLORIFIER, SE LAMENTER, LOUER, METTRE AU DÉFI, MAUDIRE, PROTESTER, SE PLAINDRE, RECOMMANDER, RÉCRIMINER, REMERCIER, SALUER, SOUHAITER, (SE) VANTER.
La deuxième définition austinienne donnée à la performativité, qui a élargi le sens de la notion, nous a permis de diviser les énoncés performatifs centrés sur les verbes comportementaux en explicites et primaires. Par conséquent, notre grammaire va analyser les énoncés comportementaux à performatif explicite et également les énoncés performatifs primaires, sans préfixe performatif, basés donc sur un implicite (du type : ÊTRE DÉSOLE / NAVRÉ / CONFUS / EMBÊTÉ ).
Nous proposons un modèle qui vise ainsi à circonscrire une grammaire et une taxinomie de la performativité des verbes comportementaux qui prennent en charge des critères pragmatiques, sémantiques et syntaxiques.
Les critères pragmatico-sémantiques qui sont la sui-référence et la réflexivité, les conditions de succès et les échecs, les buts expressifs et les conditions de sincérité, la direction d'ajustement, le mode d'accomplissement, les conditions préparatoires et de contenu propositionnel, les performatifs explicites et primaires nous permettront de délimiter un modèle comprenant des traits caractéristiques pour les énoncés performatifs centrés sur les verbes comportementaux à partir de la force illocutionnaire désignée.
Nous allons constater que les états mentaux définis pour ce type d'énoncé performatif sont représentés par la formule m(p) où m est le mode psychologique particulier et p est le contenu propositionnel. À partir de cette formule, nous établissons deux types de verbes comportementaux : DÉSIDÉRATIFS et ÉVALUATIFS. Leur traits définitoires seront marqués à partir de la modalisation désidérative et volitive-déontique respectivement.
Nous souscrirons à la thèse de François Récanati que la direction d'ajustement entre les mots et le monde est vide. Ceci grâce au fait que l'acte non-essentiellement représentatif de type expressif est indirect et n'a pas de contenu propositionnel représentatif mais plutôt un contexte pragmatique qui est le thème ou l'occasion de l'acte. Cela s'explique par l'emploi des questions de type : POURQUOI et des réponses de type : PARCE QUE.
Les performatifs explicites seront représentés par les vingt-cinq verbes performatifs comportementaux. Les performatifs primaires en tant qu'énoncés exclamatifs (expressifs) seront paraphrasables par les verbes performatifs comportementaux qui dénomment un acte illocutoire primaire accompli indirectement par un acte littéral. L'indirection sera expliquée au moyen de la théorie des actes de langage indirects formulée par John Searle (1982). Les conditions pragmatiques de la force illocutionnaire désignée au moyen d'un verbe performatif de comportement imposeront les règles sémantiques de l'acte nommé par un tel verbe dans la théorie des actes de langage de John Searle (1972) et le paradigme verbal morpho -syntaxique des énoncés performatifs centrés sur les verbes comportementaux.
La valeur de vérité est indissociable des univers de croyance, selon Robert Martin (1983). Par conséquent, les verbes comportementaux de notre modèle engagent la responsabilité du locuteur sur la vérité (ou la fausseté) de la proposition exprimée selon son propre univers de croyance.
Les critères sémantico - syntaxiques qui définissent la grammaire et la taxinomie des énoncés performatifs centrés sur les verbes comportementaux seront formulés à partir de la sémantique cognitive.
Les mots cognition et cognitif sont d'origine latine et existe en français depuis le XIV siècle, selon Petit Robert.
J. Fr. Le Ny désigne sous le nom de connaissance "une croyance vraie justifiée, ou, plus généralement, une représentation vraie justifiée" et sous le nom de cognition "un ensemble sensiblement plus vaste contenant des entités de même nature, mais abstraction faite de leur valeur de vérité" (1989 :26-27). La cognition inclut à la fois la connaissance et l'erreur. La métacognition comprend "les croyances, éventuellement fausses, que l'on a sur ses propres croyances" (ibid. 28).
Les termes cognitif et métacognitif seront utilisés dans le Chapitre VII pour les stratégies métacognitives indirectes et cognitives directes qui seront utilisées dans le processus d'enseignement.
La sémantique cognitive nous donne selon Desclés (1990 :277) des schèmes organisateurs de représentations cognitives à partir des archétypes cognitifs, des représentations conceptuelles, à partir des schèmes conceptuels prédicatifs et des représentations linguistiques, à partir des schémas grammaticaux.
Les archétypes cognitifs sont des structures abstraites situées à un niveau plus profond que les représentations linguistiques. Ils visent à capter une partie de la signification des prédicats linguistiques et sont intégrés dans des schèmes conceptuels prédicatifs qui mettent en évidence les structures prédicatives organisées en arguments (actants) et prédicats. Pour construire une structure prédicative, il faut avoir constitué d'abord une structure organisée en prédicats et arguments pour entreprendre ensuite des opérations de prédication. La prédication consiste à appliquer un prédicat à ses arguments. Les structures prédicatives sont encodées dans le système linguistique, au niveau morpho-syntaxique sous forme de schémas grammaticaux spécifiques. L'agencement morpho-syntaxique met en jeu des prédicats lexicaux exprimés par des verbes agencés avec des termes nominaux par des opérations syntaxiques de prédication.
Notre modèle va employer l'archétype 4 de J. P. Desclés qui fait partie des six archétypes cognitifs construits à partir des quatre primitifs cognitifs pour lesquels il ne fournit pas d'argumentation explicite MODIF(ication), CONTR(SIe), FAIRE et CAUSE. L'archétype 4 se caractérise par l'opérateur TRANS obtenu par la décomposition des opérateurs CONTR et FAIRE et il décrit une transitivité sémantique on un agent contrôle et effectue à la fois la modification d'une situation SIT1(y) et SIT2(y), affectant le même objet. Dans l'archétype de la transitivité sémantique l' AGENT s'oppose au PATIENT qui est affecté par la modification.
Les archétypes cognitifs de la transitivité pour les verbes comportementaux de type : FELICITER sont intégrés dans un schème conceptuel à deux actants (obligatoires) qui "peut" alors être coulé à l'intérieur d'un système linguistique (1985 :8) dans des schémas grammaticaux de la forme : P2 T2 T1 où P2 est un prédicat binaire, T2 est un objet direct et dénote le patient et T1 est sujet et dénote un agent.
Les catégories fondamentales d'action, d'événement, d'état, de relation (causale, temporelle, etc.), d'objet (individu) représentent des invariants cognitifs décrits comme des catégories conceptuelles utilisées par le système cognitif de l'individu pour représenter le monde.
Nous nous proposons conformément à la sémantique cognitive de déterminer ce qui permet à l'individu de construire une représentation mentale, plus précisément d'établir les traits sémantiques à partir desquels un individu puisse décider de la catégorie conceptuelle à laquelle réfère la prédication.
À partir des traits sémantiques des représentations des invariants cognitifs, nous pouvons analyser la réalisation verbale en dégageant les catégories sémantiques fondamentales des conceptualisation d'action, d'événement, de changement de causation, d'état et d'individu et en identifiant les moyens linguistiques qui permettent de les exprimer. Nous souscrions aux trois thèses du groupe interdisciplinaire "cognition et langage' [formé de chercheurs de l'Université de Paris en psychologie cognitive (S. Baudet, G. Denhière, Ch. Kekenbosh, J. F. Richard, J.C. Verstiggel), en psychologie sociale (M. Bromberg, E. Friemel, R. Ghiglione) et en linguistique comparative (J. François, M. Lambert)] :
- un verbe (ou équivalent fonctionnel) constitue dans un environnement actanciel minimal une prédication élémentaire, laquelle est le corrélatif linguistique d'une conceptualisation du procès ;
- la classification sémantique des prédications met en œuvre des classificateurs conceptuels minimaux tels la dynamicité, le changement, l'agentivité ou la causativité ;
- ces classificateurs ressortissent a deux sous-groupes de propriétés, les propriétés de la constitution temporelle du procès et les propriétés de sa constitution participative.
Dans notre modèle, nous pouvons dire que l'unité de traitement sémantique primaire n'est pas le verbe, mais la prédication, que J. François définit comme "le couple [verbe (ou équivalent fonctionnel d'un verbe) environnement actanciel]." (1990 :14).
L'environnement actanciel est le contexte des actants, c'est-à-dire, des constituants dépendant sémantiquement du verbe, la nature de cette dépendance étant notée à l'aide de l'assignation d'un (ou de deux rôles) : agent, objet, bénéficiaire, etc. (1990 :14).
Les prédications d'action et d'état qui font partie de la grammaire et de la taxinomie des énoncés performatifs centrés sur les verbes comportementaux comporteront comme traits sémantiques des représentations des invariants cognitifs.
Les invariants cognitifs de notre modèle seront représentés par les classificateurs sémantiques de constitution temporelle (classificateurs aspectuels) et de constitution participative (classificateurs actanciels).
Les classificateurs de constitution temporelle qui sont [+DYNAMIQUE], [ + CHANGEMENT ], [ + TÉLIQUE ], [ + MOMENTANÉ ] et les classificateurs binaire de constitution participative qui sont [+AGENTIF] [ + CAUSATIF ] ont été introduits par J. François (1990) .
Les classificateurs quadripolaires de constitution participative de Chafe et Cook qui contiennent les prédications basiques [O, A], bénéfactives [O, (A), B], expérienciels [O, (A), E] et locatives [O, (A), L] ont été reproduits d'après L. Gosselin et J. François (1991).
Les rôles sémantiques seront celles pour la prédication expériencielle (bénéfactive) d'action c'est-à-dire, [ + AGENTIF ], [ + EXPÉRIENCEUR ], [ + BÉNÉFICIAIRE ], [+OBJET ] en combinaison avec celles pour l'événement de type psychologique, c'est-à-dire, [ + EXPÉRIENCEUR ] [ + AFFECTEUR] [+ STIMULUS ] (Cosaceanu, 1996 :79) et de la structure de rôles (Juge, Défendeur, Destinataire)  de Charles Fillmore (1970) pour les verbes de jugement (qui identifie des aspects situationnels à partir des présuppositions de ces verbes).
Les rôles sémantiques qui auront des correspondances avec les termes nominaux de la phrase (ex. l'Agent sera le plus souvent sujet), seront représentés, dans la structure profonde, au moyen d'une structure casuelle de type localiste (Anderson, 1975). Cette structure comprend en structure sous-jacente les cas ABSOLUTIF, ABLATIF et LOCATIF.
Dans notre modèle, le contenu propositionnel des verbes comportementaux sera interprété toujours en tant que prédication à partir de la constitution temporelle et participative et des rôles sémantiques spécifiques pour les deux types de prédication : ACTION ou ETAT.
Les verbes comportementaux, en tant que récepteurs prénominaux faibles, admettent la nominalisation des nominaux imparfait de ce que + P, la nominalisation des infinitive de + Inf, et la nominalisation des nominaux parfaits de type [ + Nom ].
Les six modèle structuraux de base des verbes comportementaux qui sont: No V Ni de ce Q u P, No V Ni de V1 C, No V de ce qu P, No V Q u P à N2, No V Q u P, No V opér Dét V-n C (pour les notations voir 3.0 du Chapitre IV) seront analysés et interprétés à partir du modèle du lexique-grammaire de Maurice Gross (1975).
Les verbes comportementaux qui appartiennent aux tables 6, 9, 12, 13 et 15 du modèle Gross (1975) auront les propriétés sémantico-syntaxiques adaptées conformément au paradigme morpho-syntaxique de l'expression performative. Le sujet de tous ces verbes devient donc je par pronominalisation et doit avoir le trait [ + HUMAIN ] obligatoirement. Les trois formes de compléments (direct, à préposition zéro, et indirect en à et de) sont motivées par les propriétés syntaxiques suivantes :
1)  la propriété du verbe de comportement ou de son complément direct d'être possivable (avec préposition agent par ou de). Le complément direct n'est pas pronominalisable par le ppv Je à cause du paradigme morpho­syntaxique des énoncés performatifs centrés sur les verbes comportementaux.
2) la propriété des compléments en de d'être pronominalisable par le ppv en.
3)  la propriété du verbe de comportement d'accepter des complétives de type de ce Q u P, la nominalisation infinitive de type de V1 Ç et le complément substantival de N?).
4)  la propriété du verbe de comportement d'accepter une complétive à l'indicatif ou au subjonctif.
5)  la propriété d'un verbe de comportement d'avoir une propriété transformationnelle (c'est-à-dire la possibilité du verbe d'entrer dans 2 formes de phrases, comme par exemple l'actif et le passif).
6)  la propriété d'un verbe de comportement d'être en relation d'équivalence avec une autre forme (ex. Un verbe comme je te félicite à la propriété syntaxique d'entrer dans la structure No V Ni de ce Qu P ou qu'il existe une entrée du lexique-grammaire de la forme No féliciter Ni de ce Qu P où No=je et N1=te, conformément au paradigme morpho-syntaxique du verbe performatif de comportement.
Dans ce qui suit nous allons faire une présentation succincte des chapitres de notre thèse :
Le Chapitre I s'occupe de la terminologie essentielle concernant la performativité et de la critique des théories austiniennes et post­austiniennes portant sur les actes de langage, les énoncés performatifs, les verbes performatifs et les verbes comportementaux. Les énoncés performatifs centrés sur les verbes comportementaux auront à la base ce noyau nommé "behavitives" par Austin, "expressifs' par Searle et Vanderveken et "actes non-essentiellement représentatifs" par Récanati.
Le Chapitre II présente la typologie de la délocutivité dans une perspective historique et critique, à partir de la délocutivité benvenistienne, passant par les délocutivités lexicales diachroniques et synchroniques et arrivant aux délocutifs et surdélocutifs généralisés. Nous verrons l'évolution morphologique et sémantique des verbes : REMERCIER, S'EXCUSER (ÊTRE DÉSOLÉ), SALUER par l'intermédiaire de la typologie de la délocutivité.
La performativité et la délocutivité seront expliquuées par la délocutivité généralisée qui révélera la relation linguistique qui existe entre sens non-performatif et sens performatif dans l'évolution de la théorie de l'action reflétée dans l'analyse du discours. Le titre de la partie finale du Chapitre II, UN GLISSEMENT DE DIRE À SOUHAITER OU COMMENT PASSER DU DELOCUTIF AU PERFORMATIF est représentatif pour la motivation de ce phénomène linguistique qu'est la délocutivite dans la structure de notre étude.
Nous nous proposons dans le Chapitre III d'établir et d'analyser les critères sémiotiques qui définissent une grammaire des verbes comportementaux.
Nous essayons de faire une délimitation de la classe des verbes comportementaux à partir de l'idée que ces verbes représentent une sous-classe des verbes d'action.
Les verbes de type REMERCIER se distinguent des verbes de type LIRE par le fait que les verbes du premier type n'acceptent pas le test d'insertion dans /SN est en train de V-er/. C'est à cause du fait que les verbes de type REMERCIER sont des verbes d'action, d'accomplissement, momentanés et ponctuels. Les verbes comportementaux de type REMERCIER se distinguent aussi des verbes type AIMER. Ils contiennent un DIRE, un FAIRE, les traits / + INTENTION / / + VOLITION / / +CHANGEMENT / qui sont caractéristiques pour les verbes d'action. À ces traits, on ajoute les traits / + EXPÉRIENCEUR / / +PSYCHOLOGIQUE /. Les verbes comportementaux, qui désignent la force illocutionnaire de type expressive, expriment cette force par l'assertion/déclaration de la condition de sincérité correspondante au mode de l'état mental nommé par le verbe performatif. À la force illocutionnaire d'action de type DIRE s'ajoute un FAIRE qui est déclenché par l'OBJET de l'émotion. L'accomplissement de l'acte en question revient à exprimer l'état mental spécifié dans la condition de sincérité.
Nous raffinerons par la présente analyse l'idée d'attitude propositionnelle comprise dans les conditions de sincérité.
La typologie des verbes comportementaux du Chapitre IV va comprendre plusieurs aspects : les classificateurs aspectuels et actanciels, pour une classification sémantique ; les actes de langage de type comportementaux, pour une classification pragmatico-sémantique et les structures sémantico-syntaxiques de base, pour une classification sémantico-syntaxique.
La méthode de travail sera constituée par une combinaison entre la théorie   des   actes   de   langage,   l'impacte   pragmatique   qui   est   la présupposition, la théorie de la structure de rôles et de la grammaire des cas et la structure discursive analysée au moyen des concepts de la sémantique cognitive et des notations du modèle du lexique-grammaire de Maurice Gross (1975).
Notre recherche du Chapitre V va se baser sur des verbes morphématiques et des locutions verbales. La liste des vingt-cinq verbes comportementaux de notre corpus comprend quinze verbes de la liste donnée par Vanderveken (1988 :199), raffinée avec des verbes de la classification austinienne pour les buts complexes de la typologie.
Notre analyse des énoncés performatifs centrés sur des verbes comportementaux appartenant à chaque structure sémantico-syntaxique de base est composée de définitions sémantico-pragmatiques suivies par les propriétés sémantico-syntaxiques des structures verbales. Notre échantillon d'analyse comprend des textes littéraires ajustés conformément au paradigme morpho-syntaxique des verbes performatifs comportementaux.
Chaque verbe sera inscrit dans la table du modèle structural auquel il appartient avec ses propriétés sémantico-syntaxiques définitoires et optionnelles.
Nous allons tirer des conclusions sur les verbes comportementaux appartenant a chaque modèle structural à partir de l'analyse globale de chaque table correspondante.
Le Chapitre VI présente une comparaison structurale, entre le français contemorain et l'anglais contemporain, des énoncés performatifs centrés sur les verbes comportementaux qui expriment des félicitations, un compliment, une congratulation, des condoléances, une plainte ou un souhait. Nous analyserons aussi les éléments caractéristiques des échanges réparateurs, complimenteurs et cadeaux-remerciements dans la syntaxe du français contemporain et de l'anglais contemporain.
Dans le Chapitre VII nous avons l'intention d'améliorer la théorie et la pratique présente de la didactique fonctionnelle des énoncés performatifs centrés sur les verbes comportementaux, en mettant en œuvre les strategies metacognitives indirectes et les stratégies cognitives et de mémorisation directes dans les processus d'enseignement et d'apprentissage du français contemporain en tant que langue étrangère.
Notre étude vise aussi deux objectifs : un objectif théorique et surtout un objectif pratique, à même de contribuer à un perfectionnement de l'enseignement des langues étrangères dans le contexte de la didactique fonctionnelle.

  • Etudes semiotiques sur les verbes performatifs de comportement

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Şerban Ion Boicescu

Absolvent al Facultăţii de Limbi Străine – Universitatea Bucureşti, din anul 1977. Doctor în Filologie al Universităţii Bucureşti din anul 2001. În prezent, lector universitar doctor la Catedra de Limbi Germanice şi Comunicare de afaceri a Academiei de Studii Economice – Bucureşti. Coordonator al disciplinei Comunicare de afaceri în limba engleză la Facultatea de Contabilitate şi Informatică de Gestiune din cadrul A.S.E. – Bucureşti. Autor a numeroase lucrări de lingvistică şi limbaje specializate, dintre care amintim: "Strategies for business letter writing" "Gapping în engleză şi română" "Comparaison structurale entre le français el l'anglais" "Énoncés performatifs centres sur les verbes comportamentaux"

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